img LIEU DE VIE ET MODE DE VIE

Lieu de vie et mode de vie

Et si vivre la sobriété heureuse était plus facile en écolieu rural ?

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Lieu de vie et mode de vie

Et si vivre la sobriété heureuse était plus facile en écolieu rural ?

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Lieu de vie et mode de vie

Et si vivre la sobriété heureuse était plus facile en écolieu rural ?

L’écolieu des Chats Perchés vu par l’artiste Yakobé !
Invitée par l’excellente association Ecoquartier Strasbourg à témoigner sur notre expérience d’écolieu en milieu rural, j’ai maintenant envie de partager avec vous les contenus des échanges.

Ecoquartier Strasbourg milite depuis 20 ans (c’était leur anniversaire d’ailleurs !) pour développer les pratiques d’habitat partagé. Ils interviennent pour l’instant en milieu urbain mais sont de plus en plus sollicités par des collectifs souhaitant monter des écolieux « hors Strasbourg ».

 

Qu’est-ce qu’un « écolieu » ?
Un écolieu, c’est d’abord un lieu de vie partagé entre plusieurs familles. Dans notre cas, une grande bâtisse semi rénovée et transformée en 3 appartements indépendants et de nombreux espaces communs.

Ensuite, un projet d’écolieu va souvent « plus loin » en intégrant une réflexion sur les modes de vie des habitant.e.s. Dans notre cas, l’installation en milieu rural était un élément important de notre projet de vie centré sur la sobriété heureuse.

 

« Sobriété heureuse », kesako ?
Il s’agit d’un concept occidental, développé en réaction au Capitalocène. Oui, vous savez, cette ère culturelle centrée sur la consommation massive de biens et d’énergies, la course à la croissance, la définition de la réussite par l’accumulation matérielle 😉
On peut avoir l’impression que c’est THE logique unique sans alternative (coucou Margaret Thatcher !), c’est pourtant uniquement un paradigme, une habitude culturelle, avec ses avantages et ses inconvénients, comme les autres habitudes.
A ce paradigme de consommation / croissance sans limites, on a tendance à opposer des concepts de pauvreté, de sacrifice, en mode « Amish » (coucou Macron !), retour au Moyen-Age ou même carrément à la Préhistoire.
Bon, c’est pas tout à fait ça 😉 La sobriété heureuse (concept développé par Pierre Rabhi) cherche à faire sauter cette croyance consommation = bonheur, et son corollaire non-consommation = renoncement à tout.
Et là, s’ouvre tout un champ de réflexion sur la manière dont on souhaite vivre !
En cherchant à développer ce mode de vie de sobriété heureuse, voici la manière dont je dirai que notre collectif se l’est approprié. A ce stade de notre projet, nous cherchons surtout à :

  • Faire la différence entre besoins, envies et habitudes de consommation
    Perdre le plus possible nos habitudes (souvent créées de toutes pièces par nos amis de la publicité)
  • Répondre différemment à nos envies (envie de chips ou envie de réconfort ?) 
  • Nourrir nos besoins avec le plus de résilience possible (autoproduction, troc avec les voisins, moyens éthiques répondant à nos valeurs)

 

En quoi l’implantation rurale nous aide à nous aligner à ce choix de vie ?
Alors pour répondre à cette question, j’ai envie de reprendre ma petite classification ci-dessus.

  • Pour la partie « faire la différence entre besoins, envies et habitudes », je dirai que basiquement un déménagement implique forcément un changement de pratiques de consommation, on perd nos routines d’achat. Dans ce contexte, notre installation à l’écolieu a permis ce « grand reset » pour requestionner toutes nos pratiques. Ça, on aurait eu cette possibilité autrement qu’en écolieu rural.
    Mais : bonus ! Déménager ensemble et en ayant fixé cet objectif de sobriété heureuse a permis de créer une véritable entraide dans la réflexion. Chacun.e trouvant de nouvelles adresses correspondant à nos valeurs, expérimentant des trucs que les autres pouvaient ensuite s’approprier, célébrant les réussites du collectif. On a gagné en temps et en persévérance à ne pas le faire seul.e dans notre coin ! Mais bon, ça vous me direz, c’est valable pour tous les projets d’habitat partagé.
  • Là où l’aspect rural a une vraie valeur ajoutée, c’est sur l’enjeu de « perdre le plus possible nos habitudes » :
    Quoi de mieux que la campagne pour limiter les achats impulsifs et diminuer l’exposition hypnotique à la publicité ? 😉
    Franchement, quand on habite à 20 minutes de la première grande ville vraiment dotée de boutiques de consommation, ça crée une contrainte très utile ! La distance devient une alliée de la sobriété heureuse <3 En nous éloignant des tentations, elle nous rapproche de nos valeurs. Merci, distance !
  • Répondre différemment à nos envies, ça c’est un vrai travail sur soi : mettre des mots sur le besoin réel derrière l’envie, trouver d’autres manières d’y répondre.

 

C’est très personnel mais je me rends compte que la vie plus « slow » de la campagne (moins de bruits, moins de stimulations, …) me rend aussi moins sujette aux envies de compensation, aux coups de stress compensés à coups de chips (paprika, please !).
Et alors pour moi la clé de la sobriété heureuse est dans le dernier point « nourrir nos besoins avec le plus de résilience possible :
A la campagne, on multiplie le nombre d’opportunités de résilience :

  • des jardins plus grands permettant d’augmenter la part de l’auto-production
  • plus de voisins dans ces démarches d’auto-production donc plus de possibilités de troc et d’achats entre particuliers
  • plus de producteurs locaux, donc
  • plus d’achats directement à la ferme, en marchés : en tout cas en circuits super courts.
  • Reste la question des achats éthiques, pour lesquels pendant longtemps les magasins clés (je pense en particulier aux magasins vrac) se sont concentrés dans les grandes villes. Heureusement, l’offre s’est considérablement développée. Même en habitant à 45 minutes de Strasbourg et à 20 minutes de Haguenau, nous ne sommes qu’à 8 minutes (en voiture, certes …) d’un magasin vrac génial qui couvre quasiment tous nos besoins en produits secs.

 

Pour tous les achats « non quotidiens », on va coupler des déplacements pour aller chercher ET des vêtements à LabelFripe ET des jouets à Carijou, ou magasins tradi pour ce qu’on arrive pas (encore !) à trouver autrement …

 

Motivé.e pour essayer ?
Alors je ne dis pas qu’il faut impérativement habiter en écolieu rural pour développer de la sobriété heureuse. Donc mon conseil, ça serait de créer un petit groupe (3 personnes suffisent) avec des amis, des voisins, des collègues. Et entraidez-vous à repenser votre modèle de consommation.

L’écolieu des Chats Perchés vu par l’artiste Yakobé !
Invitée par l’excellente association Ecoquartier Strasbourg à témoigner sur notre expérience d’écolieu en milieu rural, j’ai maintenant envie de partager avec vous les contenus des échanges.

Ecoquartier Strasbourg milite depuis 20 ans (c’était leur anniversaire d’ailleurs !) pour développer les pratiques d’habitat partagé. Ils interviennent pour l’instant en milieu urbain mais sont de plus en plus sollicités par des collectifs souhaitant monter des écolieux « hors Strasbourg ».

 

Qu’est-ce qu’un « écolieu » ?
Un écolieu, c’est d’abord un lieu de vie partagé entre plusieurs familles. Dans notre cas, une grande bâtisse semi rénovée et transformée en 3 appartements indépendants et de nombreux espaces communs.

Ensuite, un projet d’écolieu va souvent « plus loin » en intégrant une réflexion sur les modes de vie des habitant.e.s. Dans notre cas, l’installation en milieu rural était un élément important de notre projet de vie centré sur la sobriété heureuse.

 

« Sobriété heureuse », kesako ?
Il s’agit d’un concept occidental, développé en réaction au Capitalocène. Oui, vous savez, cette ère culturelle centrée sur la consommation massive de biens et d’énergies, la course à la croissance, la définition de la réussite par l’accumulation matérielle 😉
On peut avoir l’impression que c’est THE logique unique sans alternative (coucou Margaret Thatcher !), c’est pourtant uniquement un paradigme, une habitude culturelle, avec ses avantages et ses inconvénients, comme les autres habitudes.
A ce paradigme de consommation / croissance sans limites, on a tendance à opposer des concepts de pauvreté, de sacrifice, en mode « Amish » (coucou Macron !), retour au Moyen-Age ou même carrément à la Préhistoire.
Bon, c’est pas tout à fait ça 😉 La sobriété heureuse (concept développé par Pierre Rabhi) cherche à faire sauter cette croyance consommation = bonheur, et son corollaire non-consommation = renoncement à tout.
Et là, s’ouvre tout un champ de réflexion sur la manière dont on souhaite vivre !
En cherchant à développer ce mode de vie de sobriété heureuse, voici la manière dont je dirai que notre collectif se l’est approprié. A ce stade de notre projet, nous cherchons surtout à :

  • Faire la différence entre besoins, envies et habitudes de consommation
    Perdre le plus possible nos habitudes (souvent créées de toutes pièces par nos amis de la publicité)
  • Répondre différemment à nos envies (envie de chips ou envie de réconfort ?) 
  • Nourrir nos besoins avec le plus de résilience possible (autoproduction, troc avec les voisins, moyens éthiques répondant à nos valeurs)

 

En quoi l’implantation rurale nous aide à nous aligner à ce choix de vie ?
Alors pour répondre à cette question, j’ai envie de reprendre ma petite classification ci-dessus.

  • Pour la partie « faire la différence entre besoins, envies et habitudes », je dirai que basiquement un déménagement implique forcément un changement de pratiques de consommation, on perd nos routines d’achat. Dans ce contexte, notre installation à l’écolieu a permis ce « grand reset » pour requestionner toutes nos pratiques. Ça, on aurait eu cette possibilité autrement qu’en écolieu rural.
    Mais : bonus ! Déménager ensemble et en ayant fixé cet objectif de sobriété heureuse a permis de créer une véritable entraide dans la réflexion. Chacun.e trouvant de nouvelles adresses correspondant à nos valeurs, expérimentant des trucs que les autres pouvaient ensuite s’approprier, célébrant les réussites du collectif. On a gagné en temps et en persévérance à ne pas le faire seul.e dans notre coin ! Mais bon, ça vous me direz, c’est valable pour tous les projets d’habitat partagé.
  • Là où l’aspect rural a une vraie valeur ajoutée, c’est sur l’enjeu de « perdre le plus possible nos habitudes » :
    Quoi de mieux que la campagne pour limiter les achats impulsifs et diminuer l’exposition hypnotique à la publicité ? 😉
    Franchement, quand on habite à 20 minutes de la première grande ville vraiment dotée de boutiques de consommation, ça crée une contrainte très utile ! La distance devient une alliée de la sobriété heureuse <3 En nous éloignant des tentations, elle nous rapproche de nos valeurs. Merci, distance !
  • Répondre différemment à nos envies, ça c’est un vrai travail sur soi : mettre des mots sur le besoin réel derrière l’envie, trouver d’autres manières d’y répondre.

 

C’est très personnel mais je me rends compte que la vie plus « slow » de la campagne (moins de bruits, moins de stimulations, …) me rend aussi moins sujette aux envies de compensation, aux coups de stress compensés à coups de chips (paprika, please !).
Et alors pour moi la clé de la sobriété heureuse est dans le dernier point « nourrir nos besoins avec le plus de résilience possible :
A la campagne, on multiplie le nombre d’opportunités de résilience :

  • des jardins plus grands permettant d’augmenter la part de l’auto-production
  • plus de voisins dans ces démarches d’auto-production donc plus de possibilités de troc et d’achats entre particuliers
  • plus de producteurs locaux, donc
  • plus d’achats directement à la ferme, en marchés : en tout cas en circuits super courts.
  • Reste la question des achats éthiques, pour lesquels pendant longtemps les magasins clés (je pense en particulier aux magasins vrac) se sont concentrés dans les grandes villes. Heureusement, l’offre s’est considérablement développée. Même en habitant à 45 minutes de Strasbourg et à 20 minutes de Haguenau, nous ne sommes qu’à 8 minutes (en voiture, certes …) d’un magasin vrac génial qui couvre quasiment tous nos besoins en produits secs.

 

Pour tous les achats « non quotidiens », on va coupler des déplacements pour aller chercher ET des vêtements à LabelFripe ET des jouets à Carijou, ou magasins tradi pour ce qu’on arrive pas (encore !) à trouver autrement …

 

Motivé.e pour essayer ?
Alors je ne dis pas qu’il faut impérativement habiter en écolieu rural pour développer de la sobriété heureuse. Donc mon conseil, ça serait de créer un petit groupe (3 personnes suffisent) avec des amis, des voisins, des collègues. Et entraidez-vous à repenser votre modèle de consommation.

L’écolieu des Chats Perchés vu par l’artiste Yakobé !
Invitée par l’excellente association Ecoquartier Strasbourg à témoigner sur notre expérience d’écolieu en milieu rural, j’ai maintenant envie de partager avec vous les contenus des échanges.

Ecoquartier Strasbourg milite depuis 20 ans (c’était leur anniversaire d’ailleurs !) pour développer les pratiques d’habitat partagé. Ils interviennent pour l’instant en milieu urbain mais sont de plus en plus sollicités par des collectifs souhaitant monter des écolieux « hors Strasbourg ».

 

Qu’est-ce qu’un « écolieu » ?
Un écolieu, c’est d’abord un lieu de vie partagé entre plusieurs familles. Dans notre cas, une grande bâtisse semi rénovée et transformée en 3 appartements indépendants et de nombreux espaces communs.

Ensuite, un projet d’écolieu va souvent « plus loin » en intégrant une réflexion sur les modes de vie des habitant.e.s. Dans notre cas, l’installation en milieu rural était un élément important de notre projet de vie centré sur la sobriété heureuse.

« Sobriété heureuse », kesako ?
Il s’agit d’un concept occidental, développé en réaction au Capitalocène. Oui, vous savez, cette ère culturelle centrée sur la consommation massive de biens et d’énergies, la course à la croissance, la définition de la réussite par l’accumulation matérielle 😉
On peut avoir l’impression que c’est THE logique unique sans alternative (coucou Margaret Thatcher !), c’est pourtant uniquement un paradigme, une habitude culturelle, avec ses avantages et ses inconvénients, comme les autres habitudes.
A ce paradigme de consommation / croissance sans limites, on a tendance à opposer des concepts de pauvreté, de sacrifice, en mode « Amish » (coucou Macron !), retour au Moyen-Age ou même carrément à la Préhistoire.
Bon, c’est pas tout à fait ça 😉 La sobriété heureuse (concept développé par Pierre Rabhi) cherche à faire sauter cette croyance consommation = bonheur, et son corollaire non-consommation = renoncement à tout.
Et là, s’ouvre tout un champ de réflexion sur la manière dont on souhaite vivre !
En cherchant à développer ce mode de vie de sobriété heureuse, voici la manière dont je dirai que notre collectif se l’est approprié. A ce stade de notre projet, nous cherchons surtout à :

  • Faire la différence entre besoins, envies et habitudes de consommation
    Perdre le plus possible nos habitudes (souvent créées de toutes pièces par nos amis de la publicité)
  • Répondre différemment à nos envies (envie de chips ou envie de réconfort ?) 
  • Nourrir nos besoins avec le plus de résilience possible (autoproduction, troc avec les voisins, moyens éthiques répondant à nos valeurs)

En quoi l’implantation rurale nous aide à nous aligner à ce choix de vie ?
Alors pour répondre à cette question, j’ai envie de reprendre ma petite classification ci-dessus.

  • Pour la partie « faire la différence entre besoins, envies et habitudes », je dirai que basiquement un déménagement implique forcément un changement de pratiques de consommation, on perd nos routines d’achat. Dans ce contexte, notre installation à l’écolieu a permis ce « grand reset » pour requestionner toutes nos pratiques. Ça, on aurait eu cette possibilité autrement qu’en écolieu rural.
    Mais : bonus ! Déménager ensemble et en ayant fixé cet objectif de sobriété heureuse a permis de créer une véritable entraide dans la réflexion. Chacun.e trouvant de nouvelles adresses correspondant à nos valeurs, expérimentant des trucs que les autres pouvaient ensuite s’approprier, célébrant les réussites du collectif. On a gagné en temps et en persévérance à ne pas le faire seul.e dans notre coin ! Mais bon, ça vous me direz, c’est valable pour tous les projets d’habitat partagé.
  • Là où l’aspect rural a une vraie valeur ajoutée, c’est sur l’enjeu de « perdre le plus possible nos habitudes » :
    Quoi de mieux que la campagne pour limiter les achats impulsifs et diminuer l’exposition hypnotique à la publicité ? 😉
    Franchement, quand on habite à 20 minutes de la première grande ville vraiment dotée de boutiques de consommation, ça crée une contrainte très utile ! La distance devient une alliée de la sobriété heureuse <3 En nous éloignant des tentations, elle nous rapproche de nos valeurs. Merci, distance !
  • Répondre différemment à nos envies, ça c’est un vrai travail sur soi : mettre des mots sur le besoin réel derrière l’envie, trouver d’autres manières d’y répondre.

C’est très personnel mais je me rends compte que la vie plus « slow » de la campagne (moins de bruits, moins de stimulations, …) me rend aussi moins sujette aux envies de compensation, aux coups de stress compensés à coups de chips (paprika, please !).
Et alors pour moi la clé de la sobriété heureuse est dans le dernier point « nourrir nos besoins avec le plus de résilience possible :
A la campagne, on multiplie le nombre d’opportunités de résilience :

  • des jardins plus grands permettant d’augmenter la part de l’auto-production
  • plus de voisins dans ces démarches d’auto-production donc plus de possibilités de troc et d’achats entre particuliers
  • plus de producteurs locaux, donc
  • plus d’achats directement à la ferme, en marchés : en tout cas en circuits super courts.
  • Reste la question des achats éthiques, pour lesquels pendant longtemps les magasins clés (je pense en particulier aux magasins vrac) se sont concentrés dans les grandes villes. Heureusement, l’offre s’est considérablement développée. Même en habitant à 45 minutes de Strasbourg et à 20 minutes de Haguenau, nous ne sommes qu’à 8 minutes (en voiture, certes …) d’un magasin vrac génial qui couvre quasiment tous nos besoins en produits secs.

Pour tous les achats « non quotidiens », on va coupler des déplacements pour aller chercher ET des vêtements à LabelFripe ET des jouets à Carijou, ou magasins tradi pour ce qu’on arrive pas (encore !) à trouver autrement …

 

Motivé.e pour essayer ?
Alors je ne dis pas qu’il faut impérativement habiter en écolieu rural pour développer de la sobriété heureuse. Donc mon conseil, ça serait de créer un petit groupe (3 personnes suffisent) avec des amis, des voisins, des collègues. Et entraidez-vous à repenser votre modèle de consommation.

Quelques idées pour commencer :
Faites collectivement la liste de vos basiques, ces 20% de produits qui représentent 80% de votre consommation (par exemple pour nous : les pâtes, le café, les légumes, le beurre, le lait végétal …) et concentrez vos recherches uniquement sur ces produits.
Challengez-vous les uns les autres avec la méthode BISOU pour requestionner tous vos achats : en as-tu vraiment besoin ? peux-tu répondre à ton besoin autrement ?
Réfléchissez à tout cela autour d’un apéro ! Passez un bon moment ! Sobriété heureuse, on vous dit 😉
Et faites-nous part dans les commentaires de vos expériences de sobriété heureuse !  

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Quelques idées pour commencer :


Faites collectivement la liste de vos basiques, ces 20% de produits qui représentent 80% de votre consommation (par exemple pour nous : les pâtes, le café, les légumes, le beurre, le lait végétal …) et concentrez vos recherches uniquement sur ces produits.
Challengez-vous les uns les autres avec la méthode BISOU pour requestionner tous vos achats : en as-tu vraiment besoin ? peux-tu répondre à ton besoin autrement ?
Réfléchissez à tout cela autour d’un apéro ! Passez un bon moment ! Sobriété heureuse, on vous dit 😉
Et faites-nous part dans les commentaires de vos expériences de sobriété heureuse !